Philothérapeute
Cécile Balligand
Philosophie, hypnose et thérapies brèves
Consultations individuelles et conférences à Bruxelles et à Arlon
Article consacré à mon approche de la philothérapie dans BIO INFO (janvier 2013)
Extrait
Dans son travail de philothérapie, Cécile Balligand, s’appuyant sur Spinoza, propose un renversement : « il faut casser cet engrenage. Une chose – une personne, une fixation, un travail, un objet… – est désirable parce que je la désire. Dès lors, la philothérapie ne met pas l’accent sur l’objet, mais bien sur le sujet ». En séance, on revient donc sur le sujet et ses désirables, eux-mêmes influencés par le modèle familial ou social. En cas de tristesse persistante – qui peut être signe que l’on se trompe de voie, il s’agit de réaliser si l’on s’est trompé ou pas de désirable… En séance, la philothérapie invite à repérer le processus : pourquoi, où, quand, comment, mon désir s’est-il fixé sur tel partenaire, tel métier, telle façon de vivre ? Alors, plutôt que de dépendre ou de faire porter la faute à l’extérieur, on revient à soi. « L’enjeu est de renouer avec sa propre puissance, pour ensuite poser des actes concrets et aller vers les choses qui nous conviennent. »